Le travail de Régina Blaim s’articule à travers différents médiums. Elle emprunte selon ses besoins, son propos et le contexte, le média le plus approprié. Dernièrement, c’est la sérigraphie et la gravure qu’elle pratique le plus assidument… Ses sujets sont souvent autour du combat mais montrés de manière illusoire…
Elle expose au Salon d’art contemporain de Colombes, organisé par le Carré des créateurs, les 16 et 17 Novembre 2019.
L’intention est de créer un ensemble rythmé, narratif qui vient dialoguer avec l’architecture du lieu. Le public est alors invité, tacitement, à se créer des petites histoires avec ses propositions.
Ses œuvres sont le plus souvent intimistes. Régina aime jouer sur les échelles. A partir de toutes petites pièces, venir envahir un grand espace. Jouer sur la prolifération, l’entropie… Son ambition est de partager des questionnements métaphysiques au travers d’un style, d’une esthétique plutôt joyeuse et légère.
Amuser à l’aide de petites formes ludiques tel des petits électrochocs venant chatouiller la perception sensorielle du visiteur. L’artiste tâche de garder en tête, l’aphorisme de Claes Oldenburg « Il faut que la peinture qui a si souvent sommeillé, dans des mausolées dorés et dans des cercueils de verre, sorte prendre l’air, fume une cigarette, boive une bière. Il faut l’ébouriffer, lui faire faire un tour à vélo, ou dans un taxi avec une fille. »
Site : Magalibrien.net
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